Déjouer la maladie par son autobiographie ou L’autobiographie au service de la maladie « Les grandes âmes sont celles qui quand elles tombent se relèvent, et qui quand elles traversent de grandes peines continuent à vivre heureuses malgré tout ».
Depuis l’âge de 11 ans il rêvait d’être médecin homéopathe. Il se dit “pluridimensionnel”, comme les traumatismes. Chercher la similitude entre le patient et son affection en faisant un scanner inhérent à chacun.
Son instructeur lui avait en effet expliqué comment, dans la Chine ancienne, les médecins de l’Empereur, qui n’avaient pas le droit de l’examiner, arrivaient pourtant à percevoir intérieurement les soucis de santé de ce dernier et, donc, à diagnostiquer à distance les troubles dont il souffrait avant d’en définir le traitement adéquat. « Voilà exactement la médecine que je rêve de pratiquer ! » se dit-il alors.
Eduard Van den Bogaert enseigne désormais son art à qui veut s’y former. Le but est que chacun devienne autonome : Il teste et donne l’information au corps du remède correspondant. Cela évite des complications, ou que le choc émotionnel ne se transforme, plus tard, en maladie.
1 Claire Ducobu
Très bel entretien avec Eduard, que je connais depuis bien longtemps…
Sa façon de soigner est tout à fait extraordinaire et je profite de cette occasion pour le remercier encore et encore pour tout ce qu’il a fait pour moi…