Jacques Martel a traduit certains mots de sa langue parlée, le « canadien français ». Il associe des sentiments ou des pensées qui pourraient être reliés à une maladie (mal à dit).
Il dit qu’en produisant un autre son ou en utilisant le renforcement d’une attitude positive, il se produit une guérison psychique radicale qui se veut complémentaire à toute approche allopathique et holistique.
Nous avons aucune prétention dans nos émissions radio de vous donner une vérité, mais de vous présenter des chercheurs, comme vous et moi, pour trouver des terrains d’investigations, pour prendre le large et pourquoi pas, trouver des océans de lumière. Bon vent.
Pour en savoir plus : www.atma.ca/auteurs/jacques-martel