Il est des mondes que l’on s’imagine derrière les portes closes. D’autres encore, les nôtres, que l’on porte à bout de bras.
C’est en traversant le couloir… dans l’embrasure d’une fenêtre… entre deux buissons que se livrent ici des visages miroirs de nos âmes tour à tour souffrantes, purement primitives ou paisibles…