Connaissez vous ce Veil adage : Une personne qui meurt c’est une bibliothèque qui brule.
Combien de mémoires d’hommes mourant chaque jour délaissent ainsi une connaissance non exploitée.
Aucune institution du monde ne pourra combler ce vide avec tout l’or du monde.
Nombres de mortels qui j’ai croisé sur mon chemin, enregistreur à la main, mon répondu que leur histoire de vie n’intéresseront jamais personne.
Le mot personne comporte deux définitions : Je suis une personne ou je suis personne.
C’est la différence que les conteurs d’histoire on su faire pour ne pas oublies notre passage.
Transmettre la mémoire du temps en évoquant les bons mais aussi les mauvais moment en leur apportant un autre regard.
Le conte à su percer le mystère de la vie.
En développant la croissance entre les êtres pour rester en contact les un avec les autres et pour se sentir moins seul.
J’ai choisis de m’entretenir avec deux conteurs et pas des moindres.
Le premier se nomme et romancier de plusieurs ouvrages nous livre un mystère de la vie plutôt que les apparences de la réalité.
Et le second Innoncent Yapi: Avec une énergie phénoménale et une générosité sans pareille envers son public, ce conteur travaille en milieu scolaire sur le thème de l’égalité des chances.
Je vous invite à nouveau à ne pas vous préoccuper de quoi de ce soi, vous avez juste à aimer les gens, et qu’après avoir écouté cette émission du voyage intérieur vous ayez envie de vous approcher des uns et des autres
Romans, récits, essais, adaptations Henry Gougaud, chanteur poète était notre invité.
Il a écrit d’innombrables ouvrages il sont si nombreux que je ne peux tous vous les citer ! allez voir son site Henry gougaud.com
Et le conteur d’exception que vous avez pu entrendre avec Henry Gougaud se nommait, Ynnoncent Yapi. Il continu de ouvrer depuis plus de 20 ans dans les salles de spectacle et dans les écoles
Ces magiciens du verbe vous ont laissé j’espère une trace de leur pas sage, une rencontre authentique de notre humanité et un reflet de nous même !