Les confessions d’un jeune ami malheureux – parce que les déceptions n’ont pas d’âge et qu’il est toujours l’heure de faire les bilans de nos expériences, j’ai tendu le micro à Ulysse pour qu’il confie sa peine. Depuis, le temps a passé, l’eau a coulé, les larmes aussi, le voilà sorti d’affaire et de nouveau tout sourire. Il reste ce petit instant radiophonique comme une précieuse archive.