Si les océans sont souillés de plastiques, l’air pollué de carbone et la terre de glyphosate, ne vous inquiétez pas !
En une année, nous extrayons du sous sol l’énergie fossile équivalent à 20 millions d’années, terme qu’il à fallu à la nature pour la constituer.
Cent entreprises dans le monde sont émettrices et responsables de 71 % des émissions à effet de serre.
Aucune loi, ni juridiction n’est apte aujourd’hui à défendre les générations futures, si vous défendez et souhaitez préservez la nature de la pollution que ce soit par les déchets nucléaires ou par les effets du Glyphosate. Même si vous démontrer une corrélation directe avec votre santé et les retombées néfastes pour l’avenir de vos enfants et ceux à venir, vous ne serez ni entendu, ni reçu. Juridiquement les personnes qui ne sont pas nées, n’existent pas et par conséquent ne sont pas ‘’sujets de droit’’ aux yeux de la loi.
Mais mais…une nouvelle justice climatique est en train de naitre.
Actuellement des projets de loi s’élaborent en vue de faire cesser ceux qui saccagent la planète en leur fixant des cadres contraignants et en les soumettant à des obligations claires afin qu’ils ne soient plus affranchis de toute impunité.
Valérie Cabanes veut introduire de nouvelles notions juridiques dans le Droit International pour y intégrer une vision Eco systémique et transgénérationelle.
Pour Valérie Cabanes le droit pénal international doit se métamorphoser et s’universaliser autour d’une nouvelle valeur pivot : l’éco système terre en vue de faire reconnaitre un cinquième crime international contre l’humanité : le crime d’écocide.
Valérie Cabanes est l’auteur de deux ouvrages Homo Natura aux éditions Chastel-Buchet préfacé par Edgar Morin.
Un nouveau droit pour la terre, pour en finir avec l’écocide aux éditions seuil.
battais jacques
Pour l’écosystème c’est la transition humaine qu’il nous faut faire. Bravo Valérie Cabanes pour cet engagement planétaire.