Elle a la nationalité russe, française, pakistanaise et tunisienne, plus qu’un passeport.
Elle dit « je vis en utopie. Le monde entier est ma nationalité et je suis citoyenne d’un monde en devenir ». Sa maison est partout, elle est accueillie par ceux et celles qui promènent leur pensée vers le devenir des hommes. Zarina a eu la chance de n’avoir aucune appartenance en allant aux contacts des apatrides. Musulmane à sa naissance, orthodoxe à quatre ans, elle a été ensuite élevée par des religieuses dominicaines. Elle a croisé Adenauer, Franco, Orson Welles, la danseuse Lucero Tena ou les peintres Manolo Villasenör. Elle a fait face à l’exil, à la séparation et la barbarie.
Couronnée pour son roman « La sagesse d’aimer » par le prix Seligmann en 2017 contre le racisme, elle s’est toujours impliquée pour les droits de l’Homme et de l’Enfant.
Reconnue par l’Unesco elle a été nominée pour le prix Nobel de la paix en 2005.
Zarina Khan vit aujourd’hui en Ardèche, à Mirabel où elle a ouvert un centre culturel rural qui propose spectacles, expositions, concerts, ateliers d’écriture et de théâtre.
Certaines personnes se contentent de manger des fruits, tandis que d’autres en extraient aussi patiemment les graines pour les semer dans leur jardin.
Si vous cherchez ces semences de sagesse dans Le Voyage intérieur, la série d’émission de mes sages de vie, vous les planterez dans votre vie et elles feront croître en vous les mêmes qualités qu’on admire chez ces maîtres de sagesse !
Découvrez son site à cette adresse zarinakhan.org